• Femme et Religion

    Toutes les questions religieuses concernant la femme en islam se retrouveront dans cette catégorie inchallah! Si vous avez des questions auxquelles vous souhaitez des réponses, n'hésitez pas à nous contacter via le lien CONTACT dans le menu des catégories à droite, il nous fera plaisir inchallah e vous répondre en vous donnant toutes les références possibles.

  • Pour Toi, Soeur Musulmane - extrait

    Un extrait du livre POUR TOI SOEUR MUSULMANE, de Al-Hadith Éditions, auteur Abd al-aziz al Muqbil, page 38-39

     

    ... Soeur musulmane, à quel point connais-tu Allah et quelle est l'intensité de ton lien avec Lui? Est-ce un lien fragile, issu d'une foi régie par la tradition héritée des parents? Ou bien est-ce un lien solide, issu d'une conviction bien fondée?

    La simple foi héritée est un sentiment faibles et insensé. Dans ce cas, même l'accomplissement des cultes devient froid, sans fruits et sans esprit. Ainsi, la sensation de la surveillance d'Allah se perd et la crainte à Son égard diminue, ce qui pousse l'homme à diffamer les gens sans gêne. Dès lors, tous ces sens participent à calomnier et à mépriser autrui, ils s'abstiennent de faire le bien, et dans le coeur, la source des sentiments humaines se tarie. Ainsi, l'homme devient uniquement une masse de chair et de sang dont le sentiment est froid et détestablement égoïste.

    Quant à la foi basée sur la certitude, la parfaite conviction et le raisonnement correcte, elle engendre chez l'homme un sens raffiné et une harmonie entre lui et l'univers. Ainsi, dans la floraison des fleurs, l'écoulement de l'eau, le bruissement des feuilles, la clarté de la lune, la beauté de la nature et l'Azur, il voit les signes de la création d'Allah. De ce fait, sa foi en Allah et son amour pour Lui augmentent, ce qui lui donne confiance dans son chemin, car il marche sur la voie d'Allah sans en dévier. C'est de l'extrème fierté associer à de l'extrème modestie.

    Soeur en Islam... As-tu un jour réfléchie à comment es-tu venue au monde et quelle est ton origine, quelles sont les circonstances de ton parcours dans cette vie?

    C'est Allah qui t'a entouré de Ses soins et qui t'a fourni les moyens de protection. Lorsque tu n'étais qu'un enfant incapable de s'exprimer et de percevoir les choses, qui a adouci le coeur de ta mère afin de supporter la fatigue? Et ce, pour te conforter, car c'est elle qui a subit les douleurs de la grossesse et de l'accouchement.

    Et quand tu as grandi, qui t'a donnée la capacité de bouger et de marcher, ainsi que le raisonnement pour discerner le bien du mal?

    Et lorsque tu savoures un parfum, ne te rappelles-tu pas le bienfait d'Allah qui t'a donné ce sens de l'odorat? Même quand tu te réjouis d'un beau paysage, ne te rends-tu pas compte du bienfait d'Allah qui t'a accordé la vue? Quand tu effectues des travaux, ne sens-tu pas que c'est grâce à Allah que tu es capable de bouger? Ce qu'Allah est puissant et que Sa création est magnifique!


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  • Un des sujets les plus abordés par les détracteurs de l'Islam de nos jours est celui de la position de cette religion par rapport à la femme. Combien de fois entendons-nous ou lisons-nous que l'Islam est d'une grande intolérance (plus particulièrement en ce qui concerne les femmes), ou encore que l'Islam ne reconnaît à la femme aucun droit… Dans les lignes qui vont suivre, nous allons essayer de voir le bien fondé de tout ceci. Pour cela, nous commencerons par une analyse comparative de la situation qui était celle de la femme dans le monde avant l'Islam. Et à partir de là, il nous sera plus aisé de mesurer les améliorations et les changements positifs apportés par l'Islam.

     


    Les historiens affirment de façon unanime qu'au 6ème siècle après J.C. (avant le début de la mission de Mouhammad S.A.W.), la femme, dans le monde en général et dans la plupart des sociétés, avait perdu toute sa dignité, son honneur. Ainsi, pour certains, elle n'avait pas plus de valeur qu'une vulgaire marchandise, qui pouvait être vendue ou achetée selon le bon vouloir des hommes. Pour d'autres, la femme était l’origine du mal sur terre. D’autres encore avaient la conviction qu’elle n’était rien de plus qu’une souillure… (ainsi, elle ne pourrait accéder au paradis en restant femme!) Certains en étaient même arrivés à se demander si la femme pouvait être considérée comme un être humain ou non…! Dans la société arabe anté-islamique, la situation de la femme n'était pas meilleure. Allah lui même nous rappelle le comportement des arabes dans le Qour'aane, lorsqu'un enfant de sexe féminin voyait le jour dans leur foyer. Il dit:  " Lorsqu'on annonce à l'un d'entre eux la bonne nouvelle (de la naissance) d'une fille, son visage noircit et il suffoque (de colère)."

     


    Ils ne pouvaient ainsi voir naître chez eux une fille; et si cela arrivait, ils s’empressaient de l’enterrer vivante, comme cela est confirmé par d'autres versets du Saint Qour'aane.
    Telle était la situation de la femme sur le plan moral. Du point de vue juridique, les choses n'étaient guère différentes: les lois en vigueur dans de nombreuses sociétés présentaient des discriminations incompréhensibles entre le traitement réservé aux hommes et aux femmes. (Note: cliquez ici pour avoir des éclaircissements sur certaines différences qui existent dans la législation islamique entre l'homme et la femme.) Ainsi, les lois n'étaient pas du tout les mêmes pour les femmes que pour les hommes. Dans certaines communautés, les fautes étaient punies beaucoup plus sévèrement si elles étaient commises par des femmes: Une femme qui commettait l’adultère par exemple était immédiatement envoyée au bûcher, alors que ce sort n’était pas réservé aux hommes ayant commis le même péché.
    Chez les arabes la loi du talion était appliquée en cas de meurtre. Mais cela uniquement si la victime était un homme. S'il s'agissait d'une femme, cette loi n’était pas appliquée.
    Voici donc quelques exemples qui suffissent amplement à nous éclaircir quant à l'état d'esprit des hommes dans le monde à cette époque à l’égard des femmes. A partir de là, nous pouvons maintenant aborder la question des changements (et améliorations) apportés par l'Islam à ce sujet. Le principal enseignement islamique à l'attention des croyants sur la question de la femme a été, dès l'origine, d'adopter envers elle une attitude de respect, d'estime et de courtoisie, et ce, quelle que soit sa position dans la famille: qu'elle soit une mère ou une fille, qu'elle soit une sœur ou une épouse, l'Islam n'a jamais autorisé que l'on porte atteinte à sa dignité.

     
    Pour apporter des preuves à ce qui vient d'être affirmé, voici la traduction de quelques versets du Qour’aane et de certains Hadiths.

    • A propos de la mère, le Qour’aane dit:"Votre seigneur a décrété que vous n'adoriez que lui et que vous témoigniez de la bonté envers votre père et votre mère."

    Ce verset parle du devoir de bonté envers la mère immédiatement après avoir fait allusion à l'adoration d'Allah seul. La proximité entre ces deux obligations dans le texte coranique n'étant pas dû au hasard, elle montre bien l'importance qu'Allah accorde à ce devoir de bonté et de respect. Il est rapporté dans un Hadith, qu'une fois un Sahâbi qui s'appelait Jâhimah R.A. était venu auprès du Prophète S.A.W. et lui avait fait part de son intention de participer à une campagne militaire. Il était ainsi venu pour lui demander conseil à ce sujet. Le Prophète S.A.W. lui demanda:
    "As-tu encore une mère vivante?"
    Après qu'il ait répondu par l'affirmative, le Prophète S.A.W. lui dit:
     "Restes auprès d'elle, car le Paradis se trouve à ses pieds."
    Hazrat Abou Houreïra R.A. rapporte pour sa part:
     "Un homme vint auprès du Prophète S.A.W. et lui demanda: Qui a le plus droit à ma bonne compagnie?" Le Prophète S.A.W. répondit : "Ta mère, puis ta mère et encore ta mère, ensuite ton père..."

    • Pour ce qui est des vertus que l'Islam reconnaît à la fille, Hazrat Ibné Abbas R.A. rapporte un Hadith du Prophète S.AW. qui dit: "Celui qui a eu une fille, et qui ensuite ne l'a pas causé du tort ni ne l'a déshonoré et qui n'a pas non plus donné préférence à ses fils sur elle, Allah le fera entrer au paradis par l'intermédiaire de cette fille."

    Le Prophète S.A.W . dit encore:  "Celui qui a eu la lourde responsabilité d'élever des filles et qui a ensuite bien agi envers elles, alors ces filles seront un voile pour lui le protégeant du feu de l'enfer."
    Quel contraste entre ce que dit le Prophète S.A.W. et la mentalité qui prévalait auparavant! Face à cette société arabe où la pratique d'enterrer les filles vivantes était très courante, voici donc le Prophète S.A.W. qui promet le Paradis à celui qui se montre bienveillant envers elles…

    • En ce qui concerne le comportement que doit avoir le croyant à l’égard de sa sœur, citons un Hadith rapporté par Hazrat Abu Saïd R.A.: "Celui qui a eu la responsabilité (d'élever ou de s'occuper) de trois filles ou de trois sœurs, ou encore de deux sœurs ou deux filles et qui les a bien éduqué, s'est bien comporté envers elles et s'est occupé par la suite de leur mariage , aura le Paradis."
    • A propos de l'épouse, il y a un très grand nombre de recommandations qui ont été données aussi bien par le Qour’aane que par le Prophète S.A.W. Ainsi un verset du Qour'aane dit: "Comportez-vous avec elle (votre épouse) d'une manière bienveillante". Le prophète S.A.W. dit dans un Hadith: "Le croyant qui a la foi la plus complète est celui qui a le meilleur caractère et qui est le plus doux envers son épouse." Dans un autre Hadith, il est dit en ce sens: "Les meilleurs d'entre vous sont ceux qui sont les meilleurs envers les femmes de leur foyer." (c'est à dire envers toutes les femmes de la famille, parmi lesquelles il y a aussi l'épouse.) Le Prophète S.A.W. disait encore que "le meilleur d'entre vous est celui qui est le meilleur avec son épouse et Je suis très bon envers mes épouses." Une partie de son dernier sermon prononcé à Arafât concernait aussi l'épouse ("Craignez Allah dans votre comportement à l'égard des femmes." avait ordonné le Prophète S.A.W.)

    Ces différents versets et traditions expriment de façon explicite la dignité et l'honneur que l'Islam a reconnu a la femme. Mais ce n’est pas tout! Avec cela, l'Islam a aussi rappelé l'égalité de l’homme et de la femme devant Allah pour ce qui est du mérite. Allah dit dans le Qour’aane: " Ceux qui font de bonnes actions, qu’ils soient hommes ou femmes, à condition qu’ils soient croyants, entreront au paradis. "
    Dans un autre verset, il est dit: " En vérité, Je ne perds pas l'œuvre de celui qui fait le bien, qu’il soit homme ou femme. "  Il est rapporté qu’une fois Hazrat Oummé Salmah R.A. avait demandé au Prophète S.A.W. la raison pour laquelle Allah ne faisait pas du tout ou très peu allusion aux femmes dans le Qour’aane. Elle voulait savoir si cela signifiait que leurs bonnes actions ne seraient point acceptées. En réponse à cette question, un verset du Sourate "Ahzâb" (Les coalisés) fut révélé; un verset dans lequel Allah, après avoir cité différentes catégories d’hommes et de femmes agissant en bien, leur promet à tous le pardon et une grande récompense. Ce qui confirme bien que le critère du mérite auprès d’Allah est la bonne pratique ou l'accomplissement d'une œuvre louable, et nullement le fait d’être homme ou femme. On est bien loin de cette croyance que nous avions cité au début et qui voulait que la femme ne pouvait être admise au paradis tout en restant femme, car elle était une souillure !

     


    L’Islam a par ailleurs reconnu à la femme en général et à l’épouse en particulier des droits. Allah y fait allusion dans une petite phrase du Qour’aane. Il dit: "Et elles ont des droits équivalents à leurs devoirs." Les commentateurs du Qour'aane notent ici qu’Allah a mentionné d’abord les droits de la femme avant de mentionner ceux des hommes. Selon eux cette formulation à pour but d'insister sur le fait que ces droits doivent obligatoirement être respectés. Le Prophète S.A.W. avait aussi dit: "Certes, vous avez des droits sur vos épouses tout comme elles ont des droits sur vous." L’Islam a enfin mis un terme aux différents abus qui étaient exercés sur les femmes au sujet, par exemple, de leur droit de propriété, de la gestion de leurs biens, du mariage, du divorce, de l’héritage etc... Ce sont là autant de domaines où des lois claires et justes ont été énoncées.

     


    Voici donc un aperçu de ce que l'Islam a apporté comme améliorations concernant la femme. Est-il raisonnable alors de prétendre que l'Islam n'a en rien contribué à l'émancipation de la femme ? Est-il juste d'accuser l'Islam d'avoir privé la femme de ses droits ? Chacun est libre de répondre de façon objective et selon sa conviction personnelle à ces questions… Cependant, on ne peut non plus nier que les femmes sont encore aujourd'hui, de par le monde et dans de nombreuses sociétés à majorité musulmane, l'objet d'abus et de privation. Mais tout esprit objectif confirmera que ce genre de pratiques est à attribuer aux traditions ancestrales de ces sociétés plutôt qu'à l'Islam et à ses préceptes. N'oublions pas que le Prophète S.A.W. avait pour mission de faire disparaître ce genre d'abus. Qu'Allah nous guide tous vers Son agrément et nous éclaire sur la beauté de notre religion, l'Islam.

    Âmine.

    Source: Petel Mouhammad ici


    4 commentaires
  • La Awrah de la femme

    Voici un beau texte que je tiens à vous faire partager, akhawati, car il souligne bien comment je vois l'islam: bien accomplir ces obligations, se tenir loin du blâmable et de l'interdit, et ne pas accabler les croyants et croyantes de fausses pratiques.

    Ce texte concene la awrah de la femme à savoir si oui ou non son visage et sa voix en fait partie.

    Bonne lecture!! 

    Le Visage N’est Pas Une Awrah

    Article traduit du livre de Cheikh Muhammad Al-Ghazâlî intitulé Les Problèmes de la Femme Entre des Traditions Stagnantes et des Traditions Etrangères.

     

    "Un jour, je rencontrai un quadragénaire au ton vif. Il s’adressa à moi tout excité : "Est-ce toi qui donne la fatwa stipulant que le visage de la femme et sa voix ne sont pas une `awrah ?"
    - Je répondis calmement : "Oui".
    - Il dit : "Ne crains-tu pas Allâh ?"
    - Je dis : "Je te recommande ainsi qu’à moi-même de craindre Allâh..."
    - Il dit : "L’opinion que tu donnes aux gens est erronnée et tu devrais te repentir !"
    - Je dis : "Je ne suis pas le seul fautif car les grands exégètes m’ont précédé à cette erreur comme m’y ont précédé les narrateurs de dix hadîths authentiques et ont partagé mon tort les imâms des quatre écoles de jurisprudence ainsi que nombre d’autres écoles du fiqh. Je tiens ma fatwa de tous ces gens et je les ai suivi dans leur erreur. Et je n’éprouve aucune honte si nous faisons tous l’objet d’une même accusation..."
    - Il s’étonna : "Mais que dis-tu ? Tous ces gens sont d’avis que le visage de la femme et sa voix ne sont pas une `awrah ?
    - Oui, dis-je, mais vous préférez les traditions qui règnent et vous vous agrippez aux opinions récusées. Puis, supposons qu’il y ait deux opinions sur cette question et que je choisisse l’une des deux opinions, à quoi bon la colère et l’insolence ? As-tu entendu le hadîth de Salmân et Abû Ad-Dardâ’ ?
    - Non !, dit-il.

    - Ecoute, dis-je : Al-Bukhârî rapporte d’après Abû Juhayfah : "Le Prophète - que la paix et les salutations de Dieu soient sur lui - a scellé une fraternité entre Salmân Al-Fârisî et Abû Ad-Dardâ’... Salmân rendit visite à Abû Ad-Dardâ’ un jour et trouva Umm Ad-Dardâ’ négligée - portant des habits dépourvues de beauté. Il lui dit : "Que t’arrive-t-il ?" - "Pourquoi cette apparence [repoussante] ?" - Elle répondit : "Ton frère Abû Ad-Dardâ’ ne manifeste pas d’intérêt pour les femmes ( !)".

    Abû ad-Dardâ’ rentra et fit à manger puis il dit à Salmân : "Mange car, moi, je jeûne." Salmân dit : "Je ne mangerai pas sans toi" Alors il mangea - il rompit son jeûne pour honorer l’invité. Quand la nuit tomba, Abû Ad-Dardâ’ se leva pour prier mais Salmân lui dit de se coucher alors il se coucha. Puis, il se leva à nouveau mais une fois de plus Salmân lui dit de se coucher et Abû Ad-Dardâ’ d’obéir. A la fin de la nuit, Salmân le réveilla et ils prièrent tous ensemble. Puis salmân dit : "Ton Seigneur a des droits sur toi, et tu as des droits sur toi-même et ta femme a des droits sur toi, alors donne à chacun ce qui lui revient de droit. Abû Ad-Dardâ’ alla voir le Prophète et lui raconta cette histoire. Alors, le Prophète lui dit : "Salmân a raison".

    Et ce qui m’intéresse dans ce récit c’est le dialogue qui eut lieu en son début. Car si un tel échange avait lieu de nos jours, on aurait passé l’invité à tabac et assassiné la femme ! On dirait à l’homme : "Pourquoi regardes-tu les vêtements de l’épouse ? Et à quoi rime ta remarque non sollicitée ? Et on dirait à l’épouse : "Comment se fait-il que tu te plaignes de ton mari et que tu dévoiles de la sorte son désintéressement envers toi ?"

    Mais les mentalités (al-fitrah) étaient saines à l’époque des compagnons et excluait toute idée déplacée. Seulement, quand les esprits se sont pollués, le poète dit :

    idhâ sâ’a fi`l ul-mar’i sâ’at dhunûnuhû wa saddaqa mâ ya`tâduhû min tawahhumi

    Traduction : Quand les oeuvres de l’individu deviennent mauvaises, ses pensées le deviennent aussi, et il croit les illusions auxquelles il est accoutumé.

    Sur ce, nous constatons que les esprits malsains décrivent le dévoilement du visage comme une turpitude et jugent qu’il est illicite car il est, selon leur jugement invalide, une porte vers les grands péchés - que Dieu nous en préserve."


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